Salut tout le monde,
Beaucoup de personnes voient la punition d’une soumise (ou d’un soumis) comme des séances de flagellation. Je vous mentirais si je vous disais que mes fesses n’ont jamais vu de lanières de martinet. Mais il n’y a pas que ça dans le BDSM. Je vais donc vous parler de mon expérience avec le déni d’orgasme. Une pratique aussi excitante que frustrante.
Le déni d’orgasme ou le Tease and denial (T&D)
Dans le monde BDSM, le déni d’orgasme et fréquemment nommé Tease and denial (T&D). Cette pratique est très utilisée par les dominants pour punir leur soumis en les frustrant. Une technique de stimulation sexuelle d’un individu afin de provoquer un intense désir, mais sans aller jusqu’à l’orgasme. Quand mon Maître m’en a parlé, j’ai été tout de suite séduite par cette idée !
Mon premier déni d’orgasme
Lors de ma première expérience avec le déni d’orgasme, j’étais à la fois stressée et excitée. J’étais impatiente de vivre cette nouvelle expérience, mais mon esprit était tout de même embrumé de plein d’interrogations. L’avantage quand on est une personne soumise, c’est qu’il nous suffit de nous laisser guider par son Maître. Et c’est exactement ce que j’ai fait !
L’approche du déni d’orgasme
Après avoir désobéi, mon Maître a bien évidemment procédé à une punition. Ce jour-là, il a choisi le déni d’orgasme. Il m’a emmené dans son Donjon, m’a bandé les yeux et m’a attaché à une croix de Saint-André. Je l’ai entendu farfouiller dans son tiroir d’accessoires BDSM puis il s’est approché de moi. J’avais déjà la respiration saccadée et des fourmis dans le bas du ventre. Et ce n’était rien comparer à ce qu’il allait suivre.
Le déni d’orgasme, comment ça se passe ?
Mon Maître s’est amusé avec quelques accessoires BDSM… et moi. Son objectif ? M’exciter le plus intensément possible, tout en me privant de l’orgasme. Puis, il m’a détaché, m’a assise sur le lit, et il m’a demandé de me masturber devant lui. J’étais contente, car je pensais enfin arrivée à la ligne d’arrivée. Mais la réalité s’est passée (légèrement) différemment.
De l’excitation sans orgasme
Mon Maître se tenait devant moi, cravache à la main. Je devais donc me masturber sans atteindre l’orgasme. Et lui, il veillait au grain en me rappelant à l’ordre avec des coups de cravache. Ce petit jeu a duré pas loin d’une heure et bizarrement cela m’a épuisé. Ces moments d’extase étaient du pur bonheur, mais cette frustration est indescriptible. Un doux mélange très fatigant, mais qui m’a beaucoup plu !
De toutes les punitions que j’ai pu recevoir, c’est de loin celle que je préfère. Cela vient de cet état d’excitation et de plaisir sexuels très élevés. Le déni d’orgasme provoque un certain plaisir, amené une ou plusieurs fois à la limite de l’orgasme, sans aller jusqu’au bout. Il en résulte un sentiment puissant de frustration sexuelle, et une excitation supplémentaire d’une durée variable. Pour résumer : j’adore !